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 A n e z i e l _

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AuteurMessage
Aneziel Lang

Aneziel Lang


Masculin Balance Dragon
Messages : 6
Date de naissance : 10/10/1988
Date d'inscription : 25/08/2009
Age : 35

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MessageSujet: A n e z i e l _   A n e z i e l _ Icon_minitimeMar 25 Aoû - 22:36

____} A N E Z I E L Lang _



    Carte d’Identité ;

      NOM : Lang.
      PRÉNOM : Aneziel.
      SURNOM : [ ... ]
      DATE DE NAISSANCE : 12 février.
      ÂGE : 20 ans.
      SITUATION SOCIALE : Aneziel s'est difficilement libéré de l'emprise de ses parents. Cela dit, il n'hésite pas à se servir d'eux malgré la haine qu'il nourrit en lui, pour avoir de quoi vivre.
      SITUATION PROFESSIONNELLE : Ayant appris la photographie dans son enfance, il penser pouvoir gagner un peu d'argent grâce à ça mais ne se rendait pas compte à quel point la qualité de vie dans le monde extérieur se dégrade. Lui restait cloitré chez lui, comme tenu en laisse par ses parents, ne connu pas vraiment la ville avant l'incident. Il a donc décidé de se servir de ses parents pour pouvoir vivre décemment sans devoir se tuer à la tâche.


    Fichiers Complémentaires ;

      DEscriptION PHYSIQUE :
      DEscriptION PSYCHOLOGIQUE :

      RÊVE :
      PHOBIE :

      AIME/N’AIME PAS :

      ORIENTATION SEXUELLE :

      GROUPE : Pour l'ordre.


    Fichier Privé ;

      BIOGRAPHIE :
      - Maman, j’ai froid.

      Une main douce et froide vint se poser délicatement sur le front brulant du petit garçon. Sans un soupçon d’étonnement la jeune femme prit chaleureusement son enfant dans ses bras en lui murmurant des mots doux à l’oreille. Maman s’occupe de toi mon chéri, ne t’en fais pas. Tu seras bientôt guéri. Maman t’aime beaucoup tu sais. Très fort. Très fort. L’étreinte commençait à compliquer la respiration de l’enfant qui devenait saccadée et bientôt insupportable. L’enfant essayait de se défaire de ses bras qui l’enlaçaient avec beaucoup trop de force, mais en vain. Sa force ne rivalisait en rien avec celle de sa mère.
      -Maman, tu me fais mal.

      Le corps du petit blond fut brusquement lâché tandis qu’il s’était enfin décidé à se plaindre. Son visage fut alors couvert de bisous. Une sensation désagréable l’envahit lorsqu’il fixa brusquement les yeux brillants de sa mère. Son orgueil insatiable de mère protectrice prit la parole sur un ton qui se voulait rassurant. Maman t’aime beaucoup. Elle s’occupe de toi. Parce que tu es très malade. Mais maman te soigne. Elle t’aime beaucoup. Viens avec maman. Je vais te soigner mon chéri. Tandis qu’elle saisit avec force la main menue de son enfant, elle se dirigea d’un pas décidé vers sa chambre. Souleva son enfant et le fit asseoir sur son lit, quelque peu abasourdit. La femme blonde semblait manipuler des boîtes et autres flacons en tout genre dans un des tiroirs de sa commode, le plus haut, loin des regards curieux des enfants. Subitement la jeune femme s’approcha de son garçon, une seringue en un flacon à la main. Maman ? Dis, qu’est-ce que tu fais ? .. Pas de réponse. Aneziel fixait les lèvres de sa mère qui se dessinaient en un parfait sourire, doux et rassurant.

      La sonnerie du téléphone résonna entre les quatre murs d’un blanc sale. Une voix rauque décrocha l’appareil. Cabinet médical. Bonjour. Une voix douce et attachante, mais surtout inquiétée lui apprit qu’un enfant était très malade et qu’il fallait qu’il se déplace encore une fois, chez lui. Cela dit, il connaissait parfaitement le petit garçon qui avait la réputation d’avoir une santé très fragile. Ne bronchant pas, il se dirigea vers la maison des Lang. Le petit blond était, effectivement très malade. La fièvre avait envahi son corps entier. A son chevet, une femme blonde, belle et séduisante, sa mère. Son visage d’habitude si parfait était crispé de douleur et les larmes coulaient à flots, venant mouiller les draps blancs de son lit. Le frêle corps de l’enfant était parfois, parsemé de spasmes tandis qu’il ne semblait qu’à moitié conscient. Après l’examen du gamin, il lui prescrit un traitement. Et invita la mère à faire des examens plus complets à l’hôpital. Ravie, la jeune femme congédia poliment le médecin et décida d’aller à la pharmacie. Les médicaments n’étaient pas ce qu’il manquait à la maison, mais elle aimait l’idée d’attirer l’attention en allant à la pharmacie. Se plaindre auprès des pharmaciennes que son fils et souvent malade et qu’elle lui accorde pourtant tout son amour pour le soigner, jour après jour. Félicitée pour son courage et son amour sans bornes, elle rentra d’un pas décidé, le sourire aux lèvres.
      Le traitement prescrit fonctionna à ravir et le lendemain, Aneziel était déjà debout quoique très affaibli. Néanmoins, quelques jours plus tard, elle amena son fils aux urgences pour vomissements répétitifs et en profita pour demander un examen plus approfondi, expliquant qu’il avait eu une forte fièvre il y a quelques jours de cela. Elle se délectait avec un certain plaisir pervers du regard que posaient sur elle les infirmières et les médecins, pensant qu’elle était une bonne mère qui s’inquiétait pour la santé fragile de son fils. Pourtant, cela ne lui convenait plus. Elle désirait plus. Elle attendait de la reconnaissance.
      Le cachet bleu devint son préféré et était donc celui qu’elle utilisait le plus les années qui suivirent. Etant infirmière, il lui était aisé de s’en procurer à l’hôpital, ainsi que toute sorte d’autres substances plus ou moins adaptées au corps de son enfant. La folie de sa mère avait atteint son système immunitaire et avait finit par contracter une immunodéficience, pour la plus grande joie de sa mère qui continuait de répéter sans cesse qu’elle aimait son fils. A la moindre toux, le petit cachet bleu refaisait son apparition et Aneziel, aussi jeune soit-il ne tarda pas à comprendre les effets du cachet en question, tandis que sa mère, toujours avec son sourire parfait, le soutenait au-dessus de la cuvette, apportant un prétendu appui psychologique à son fils qui vomissait devant ses yeux toujours aussi brillants.
      Le visage de sa mère s’était creusé, son teint de pêche s’était également ternit au fil de l’année, mais son plaisir malsain ne régressait en aucun point. Elle affectionnait désormais plus particulièrement, les bains de glaçon pour faire tomber la fièvre, frottant énergiquement le dos de son fils avec une éponge plus qu’irritante. Venait ensuite le moment le plus redouté par Aneziel qui jusqu’à là avait appris à supporter toute cette mascarade. Sa folie le dépassait, amis il n’était pas stupide et avait comprit depuis bien longtemps que c’était sa mère qui était malade et non pas lui. Cette idée se faisait d’autant plus flagrante et véridique, lorsque sa mère l’invitait à s’allonger dans son lit, encore trempé de l’eau glacée et qu’il s’exécutait sans un mot. Il avait appris à ne pas l’énerver, à ne pas attiser davantage sa folie médicale. Il avait appris à attendre que sa mère lui badigeonne le dos ensanglanté avec l’alcool. Cette éponge te fait du mal mon fils. Je suis désolée. Je t’aime. Je t’aime fort. Aneziel avait appris à étouffer ses cris dans le coussin de sa mère. Tandis qu’elle s’amusait à essuyer son sang avec l’alcool. Parfois, c’était sa langue qu’il sentait parcourir son dos, puis ses mains et ensuite ses ongles. Il avait entendu sa mère enlever sa robe et se rapprocher dangereusement de lui. Et c’est poings et dents serrés qu’il avait appris à attendre qu’elle en finisse.

      Aneziel est partit. Il a décidé de partir après cet épisode. Il n’aurait pourtant jamais pensé qu’elle en arriverait jusqu’à là. Son âge était aussi propice à l’indépendance et il se servit alors de se prétexte pour s’éloigner de sa mère. C’était alors l’une de ses premières sorties à l’extérieur de la maison familiale. En 19 ans il n’était sorti que très peu, ainsi confiné par sa mère, elle ne l’emmenait qu’à l’hôpital. Le jeune homme découvrit dans quel état se trouvait la ville. Et s’était trouvé stupide d’avoir pensé pouvoir survivre grâce à ses talents de photographe. Après quelques mois seuls, il se rendit compte qu’avec son piteux salaire il ne pourra s’en sortir seul. Il régressa à la maison familiale pour demander de l’argent. Son égo en prit un coup mais il pouvait utiliser cette excuse pour se servir de ses parents et ainsi leur soutirer de l’argent et arrêter de travailler dans des conditions plus que minables.
      -Bonjour maman. Tu pourrais me passer de l’argent pour le loyer ?

      Une main douce mais beaucoup plus frêle qu’avant vient se poser délicatement sur son front. Tu as de la fièvre mon fils. Tu es très pâle. Tu es sûr que tu manges bien tout seul ? Elle lui saisit la main et l’emmena dans sa chambre. Le cœur battant, Aneziel évitait de poser son regard sur le lit, mais fut contraint d’y poser ses fesses. Il vit sa mère chercher dans le premier tiroir de la commode, comme avant. Elle lui tendit le cachet bleu de toujours, accompagné d’un autre, blanc puis d’un verre d’eau. Il saisit les cachets et les avala avec une gorgée d’eau, fixant le regard chaleureux de sa mère ainsi que son sourire toujours aussi parfait. Ils restèrent plusieurs longues minutes à se regarder, jusqu’à ce qu’Aneziel, palisse violemment et accouru jusqu’aux toilettes, suivit de près par sa mère si attentive. Tu vas mieux mon chéri ? Est-ce que ta fièvre a baissé ? Elle posa pour la seconde fois de la journée sa main sur son front, tandis qu’il posa sa main sur la sienne. Il faut vite que je te donne un bain pour faire baisser ta fièvre, sinon tu ne guériras pas. Aneziel eut soudain un haut le cœur. Et s’empressa de lâcher la main de sa mère. Ca va aller maman… Il faut que j’y retourne, je suis pressé. Le sourire parfait disparu tandis qu’elle fit demi-tour en direction de sa chambre, suivie par son fils. Elle lui tendit une liasse de billets qu’Aneziel saisit en hochant la tête pour la remercier.
      - Tu es sûr que tu ne peux pas rester ? Je dois m’occuper de toi..
      - Non je ne peux pas.
      - Ah bon.. Revient bientôt alors.


      Aneziel n’eut le temps de répondre qu’il se rendit compte que les lèvres de sa mère étaient collées aux siennes. Les yeux écarquillés, il fit brusquement un pas en arrière, alors que sa mère arborait son infatigable sourire parfait. A plus tard mon fils. Il savait maintenant à quoi s’attendre lorsqu’il déciderait de lui réclamer de l’argent.

      Le jeune homme vivait bien seul. Et même assez convenablement avec l’argent de ses parents. Ne voulant plus refaire les mêmes erreurs, Aneziel, ne laissait plus sa mère le toucher. Mais la provoquait volontairement, pour lui soutirer d’avantage d’argent. Sa mère devient de plus en plus dépendante de lui, tandis qu’il ne faisait que dissimuler les effets de tout ce qu’elle lui faisait ingurgiter depuis toutes ses années.

      FAMILLE :


    A votre tour !

      NOM/PSEUDO : Aneziel ? n_n
      ÂGE : 22 ans.
      COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ CE FORUM ? Partenariats.
      COMMENTAIRES/SUGGESTIONS ? Rien de bien particulier. J'aime beaucoup le design ainsi que le contexte. Et certains membres également ahah \o/ *sort*

      CODE DU RÈGLEMENT : Ambre _


Dernière édition par Aneziel Lang le Lun 31 Aoû - 15:27, édité 1 fois
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